Bonjour.
Je suis né le 25 novembre 1954 rue Saint Antoine à Montpellier, en bas du faubourg Figuerolles.
Une petite maison vraisemblablement construite vers 1780, dont on retrouve une trace d'achat en 1895 par Mme Faisandier. Cette maison sera acquise ensuite par la famille Berthézène, elle sera louée en 1932 par mes parents, et finalement ma mère en deviendra propriétaire en 1965. J'en hériterai en 2002.
J'ai été scolarisé dans ce quartier, à l'école maternelle Sainte Famille, puis à l'école primaire Saint Denis, cours Gambetta, ensuite au CES (collége) du terrain Gély. Après le lycée Joffre, l'Ecole Normale de Garçons (ENG qui deviendra IUFM), je suis d'abord devenu instituteur, puis j'ai obtenu une Maîtrise Sciences et Techniques du Patrimoine, un Master 2 Professionnel et un Master 2 Recherche en Sciences de l’Information et de la Communication. Je suis aujourd’hui doctorant en sociologie à Montpellier.
J'ai été lauréat, en juin 2003 du prix du meilleur communiqué de presse décerné par le Club de la Presse de Montpellier, je suis aujourd'hui rédacteur et photographe, depuis mai 2005, pour le quotidien régional L’Hérault du Jour, au sein duquel je dirige une chronique hebdomadaire intitulée « Patrimoine Pratique ».
Dans le cadre de mon doctorat, mon objectif de chercheur, c'est d'apporter un nouveau regard, une nouvelle analyse, de susciter le débat à l'intérieur et à l'extérieur du quartier Figuerolles à Montpellier, autour de la rue Saint Antoine ...
Quelques photos de famille. De haut en bas et de gauche à droite : le fameux oncle Armand, le frère -anarchiste- de ma mère, une équipe de jeunes du quartier dans les années 60 (dont mes frères et soeurs, cousins, le guitariste et gardien de but Pierre Kempf, etc.). Mon frère Emile (décédé le 10 février 2010), au centre, ma maman, en dessous, à sa droite le célébrissime Père Coursindel, puis moi et mon papa - toute sa vie militant très actif de la CGT- pendant la deuxième guerre mondiale, en photo devant ses cabanons route de Lavérune, la troupe François Villon, avec mon frère et ma soeur à gauche, son mari Etienne à et Raymond, le frère de l'abbé Soulier, un autre prêtre charismatique du quartier, puis Joseph Brunel, de la rue Pierre Fermaud. A droite, mes deux soeurs, Aline en haut et Renée, assise.
Généalogie
Une recherche généalogique sur le patronyme "Arcaix" a été diffusée sur France Bleu Hérault le lundi 7 mai 2007. Elle a été réalisée par le Cercle Généalogique du Languedoc et enregistrée par Georges Di-meglio et Jean-François Pujante.
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« Arcaix est un nom très rare que l’on trouve surtout dans notre région. Son étymologie est obscure et je ferais plusieurs propositions. Celle qui me paraît la plus plausible est celle de Frédéric Mistral dans son « Trésor du Félibrige » . Il indique que le mot Arcay cité en Languedoc désigne le trésorier. Autre possibilité, en faire un dérivé de « Arca » signifiant coffre d’où le possesseur de coffre (et on se rapproche du trésorier). Enfin, « Arse » ou « Arce » désigne l’aubépine en occitan d’où la possibilité de noms de lieux et d’origine.
Il n’y a eu que 43 naissances en France de 1891 à 1990 : 14 dans l’Hérault, 14 en Lozère et 5 dans les Pyrénées orientales. »
Contactez-moi directement en cas d'urgence, on verra ce qu'on peut faire...
(Photo que j'ai prise -le coq a été rajouté- depuis mon balcon dans les années 60, avec un tout petit appareil photo Kodak, acheté chez Mélis, le photographe du faubourg). C'est une Renault 8 qu'il y a au fond...
mél : thierry.arcaix@wanadoo.fr ; tél : 06 23 10 62 21